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Issu d’une famille forestière de Péribonka, dans le nord du Lac-Saint-Jean, Sylvain Goulet n’a jamais douté de son parcours. «Je baigne dans le bois depuis que je suis petit. Je n’ai jamais eu à prendre de décisions. C’est ça que je devais faire», dit-il.
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Âgé d’à peine 16 ans, Cedrik Baudart a fait l’achat d’une débusqueuse à câble, sa première machine forestière. Comme il allait encore à l’école, il travaillait les fins de semaine pour un entrepreneur forestier. «J’ai toujours voulu être bucheron, même si personne dans ma famille ne travaille dans le bois», dit-il.
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Les Premières nations font partie intégrale de la réalité forestière au Québec. Mélanie, Suzie et Carl Paul, trois entrepreneurs de Mashteuiatsh, une communauté innue du Lac-Saint-Jean, souhaitent valoriser les résidus du bois pour créer de la richesse dans leur milieu.
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Natif de Sacré-Cœur, Éric Gravel a été élevé au rythme du plus grand employeur de la petite municipalité de 2000 âmes, Boisaco. C’est donc sans aucune hésitation qu’il a suivi le chemin de son père et de son grand-père, en optant pour une formation en foresterie. Il est alors devenu un fier représentant de la troisième génération de Gravel au sein de la coopérative locale qui fait travailler plus de 500 personnes.
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Ayant grandi en ville, Virginie Galvez-Cloutier n’avait jamais pensé faire carrière en foresterie jusqu’à ce qu’un orienteur lui parle du métier. «J’ai tout de suite vu l’intérêt pour travailler dans la nature et pour la protection de l’environnement», dit-elle d’emblée.
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Forestier depuis trois générations (1961), les actionnaires de Groupe Champoux, dont fait partie Jean-François Champoux, ne toléraient pas de voir l’usine de sciage fermée à Saint-Michel-des-Saints. Avec une de leur filiale, les Forestiers Champoux, ils ont alors travaillé avec une vingtaine d’investisseurs locaux pour relancer l’usine qui amène une vitalité nécessaire au petit village de 2500 habitants.
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Vous avez jusqu'au 31 mai 2017 pour soumettre une candidature au palmarès des étoiles forestières du Québec.
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Martin et Francis Paquet ont suivi les traces du paternel, en faisant carrière en foresterie. Dès l’âge de 16 ans, les deux jeunes hommes sont allés travailler en forêt avant de compléter un diplôme d’études professionnelles au Centre de formation professionnelle de Dolbeau-Mistassini en Abatage et façonnage des bois.
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Saviez-vous que l’île de Montréal abrite plus de deux millions d’arbres ? Pour les villes, c’est tout un patrimoine à préserver. «Au fur et à mesure ou l’on perd notre canopée de frêne, qui représente près du tiers des arbres, la qualité de l’air se dégrade. Étant donné que 80 % de la population canadienne vie en ville, il faut en prendre soin», souligne Bruno Chicoine, ingénieur forestier et expert en foresterie urbaine.
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Stimulé par l’essor des nouvelles technologies, Jimmy Deschênes envisageait une carrière dans les télécommunications. Mais l’explosion de la bulle technologique en 2001 l’a forcé à revoir ses plans. Après un court séjour forcé à Montréal, il revient dans sa région natale de Chaudière-Appalaches pour travailler dans l’usine de sciage de Matériaux Blanchet avant la saison des sucres.
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Manuel a toujours été fasciné par le monde du sciage. Dès l’âge de 12 ans, il allait rejoindre son oncle à l’usine de bois franc à Labelle pour vivre au rythme de la fibre de bois. Natif de Mont-Laurier, Dominic Venne connaissait bien le travail en forêt, mais jamais il n’avait songé à travailler dans une usine de sciage.
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