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Un règlement vient serrer la vis aux entreprises qui rasent les terres ancestrales.
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Ottawa menace Québec d’intervenir pour préserver les espèces en péril, a appris La Presse.
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Le 7 février 2002, le Grand Conseil des Cris du Québec et le gouvernement Landry signaient la paix des braves. Cette entente économique et politique sur les ressources naturelles avait pour but de favoriser une relation de collaboration entre les deux nations pour les 50 prochaines années. Vingt ans plus tard, l’impact de cette entente se fait sentir dans le secteur de la foresterie dans la communauté crie de Mistissini.
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| LE MESSAGE DU COMMANDITAIRE |
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Les machines SENNEBOGEN de type « pick & carry » spécialement conçues pour l'industrie forestière augmentent la capacité des parcs à bois et des centres de transfert dans tout le pays. Leur flèche de 12 m (40 pieds) de hauteur permet d'édifier en toute sécurité des piles de grumes jusqu'à 50 % plus hautes qu'avec les chariots de manutention traditionnels. Leur rayon de levage de 360o permet de former des rangées 25 % plus rapprochées et de prendre des charges pesant jusqu'à 20 tonnes de chaque côté de l'allée sans avoir à manœuvrer.
La direction agile à 2 essieux et le châssis compact permettent à nos modèles 735 et 730 de déplacer plus de bois, plus efficacement. Nos machines bénéficient de la garantie d'assistance à vie « Plus que des machines » de SENNEBOGEN pour maximiser votre temps de fonctionnement.
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Des décideurs peuvent analyser, par exemple, les impacts possibles du remplacement du système au mazout particulièrement polluant d’un aréna par différentes options de bioénergie, et ce, selon l’angle environnemental, économique et social.
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Même s’il n’a toujours pas de stratégie de protection du caribou forestier et que le déclin de l’espèce se poursuit, le gouvernement Legault se décrit comme un « précurseur » dans la conservation de ce cervidé menacé. Dans sa réponse à la demande de rencontre du ministre Steven Guilbeault pour discuter de la situation des espèces en péril, que Le Devoir a obtenue, Québec critique aussi ouvertement les interventions d’Ottawa sur le territoire provincial.
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Fraîcheur urbaine peut maintenant produire des légumes frais à l’année, grâce à l’installation d’une fournaise à la biomasse. Cette façon de chauffer les serres est non seulement moins coûteuse, mais également moins polluante, relève le propriétaire du complexe serricole de Granby, Gilles Pelletier.
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Le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) du Québec tranche dans le différend opposant West Fraser et la zec de la Lièvre et déclare la forestière coupable de ne pas avoir respecté l’entente intervenue entre les deux parties.
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Les négociations se corsent entre le Syndicat des producteurs de bois de la Gaspésie et les transporteurs.
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L’histoire de l’industrie papetière en Gaspésie s’établit pour de bon dans les voûtes du Musée de la Gaspésie. L’institution muséale vient d’acquérir quelque 113 boîtes de photos, de plans et de documents de toutes sortes sur l’emblématique usine Gaspésia de Chandler, dont le passage marquant est aujourd’hui pratiquement invisible.
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Afin d’atteindre les objectifs énoncés dans la Politique d’intégration du bois dans la construction lancée en décembre 2020, le gouvernement du Québec annonce qu’il consacrera 54,62 M$ au Plan de mise en œuvre 2021-2026. Ces investissements ont pour but notamment d’augmenter l’utilisation du bois dans la construction en vue de favoriser le développement durable de toutes les régions du Québec et de réduire l’empreinte carbone des bâtiments.
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Autrefois connue sous le nom de Tembec, puis Rayonier, l’usine de pâte de Matane connaît une meilleure stabilité de ses marchés maintenant qu’elle appartient au groupe Sappi, d’Afrique du Sud.
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Après presque 100 ans, une page de l’histoire économique du Québec se tourne. L’École de papeterie de Trois-Rivières, qui a vu le jour en 1923 pour doter la province d’une de ses premières industries importantes, a formé ses derniers techniciens.
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